Selon la juge d’application des peines, Laurence Blisson, « la peur de l’attentat » dicte cette « stigmatisation » persistante à la sortie, qui complique « la réinsertion ». « Attention à ce qu’on est en train de produire, met-elle en garde.La peine de prison doit être considérée comme un parcours tourné vers l’avenir, et l’avenir c’est la société. »
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27.06.2017