Les jeunes se (re)mobilisent : un vent nouveau souffle sur l’engagement

Elan de solidarité
Othman Hallat, 26 ans, parle lui aussi d’une « relation gagnant-gagnant ». Arrivé du Maroc, en septembre 2020, pour suivre un master de management à Metz, ce jeune diplômé d’une école d’ingénieurs à Casablanca a trouvé dans l’engagement un « bon palliatif » au confinement. « De quoi m’occuper, faire des rencontres, travailler mon français », dit-il. En journée, il propose de l’aide aux devoirs, lui aussi par l’AFEV. En soirée, il « fait la conversation » à des personnes âgées, pour l’association Au bout du fil. « Elles me parlent de leur région, leur culture, elles me font voyager un peu… Sans ça, moi aussi je serais très isolé ! »