Environ quatre-vingt-dix associations et structures de prise en charge et d’accompagnement partenaires des préfectures appuient les 25.000 agents de l’État des collectivités territoriales et des travailleurs sociaux formés sur la radicalisation. Le gouvernement mise sur eux pour prendre en charge et accompagner les personnes radicalisées, qu’elles reviennent d’Irak et de Syrie ou non. Et pour coordonner tout cela, les préfets, chefs de file de la prévention de la radicalisation dans leur département, travaillent avec les directeurs et directrices générales des agences régionales de santé.
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