Ce qui pousse les jeunes à la radicalisation islamiste (et à en sortir)

Originaires du Maroc et de l’île Maurice, les parents de Yaseen ont réprouvé sa nouvelle vie. «C’est ce qui m’est arrivé. Avec le recul, je pense que j’étais dans une phase de dépression.» Il se met alors à porter le qamis, une longue tunique propre à la branche salafiste de l’islam, et se rend régulièrement à la mosquée, aux abords de laquelle les recruteurs affluent.

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