Katia Mebtouche évoque l’association Coexister comme d’«un modèle qui mise sur le dialogue interreligieux et interculturel». Tous ces acteurs ont en commun de chercher à comprendre, prévenir et accompagner, afin de mettre des mots sur ce mal qui emporte tant de jeunes et de trouver les solutions d’une sortie de la violence et de la haine.
Quand elle a initié son film en 2017, la réalisatrice Marion Stalens tenait à montrer qu’il était possible de s’en sortir. Un message qu’elle nous adresse à tous, en Europe: «Il ne sert à rien d’être alarmiste. Bien sûr, il y a des menaces, mais il faut envisager qu’il est possible d’en revenir».