Ce qui pousse les jeunes à la radicalisation islamiste (et à en sortir)

Pour la sociologue Amélie Chelly, les femmes radicalisées sont actuellement appelées sur les réseaux sociaux à la taqiya, l’art de la dissimulation –ce qui en fait des menaces d’autant plus difficiles à surveiller.

Dans ce contexte, le retour des femmes devient aussi problématique que celui des hommes. Eux sont systématiquement pris en charge par la justice à leur retour; les femmes ne le sont que depuis l’arrestation de trois d’entre elles, qui avaient déposé une bonbonne de gaz dans une voiture piégée près de l’église Notre-Dame de Paris, en septembre 2016.