Avec près de soixante-dix-sept personnes prises en charge depuis 2015, l’association s’efforce de réaliser un travail de construction d’un projet et d’un discours alternatifs. «Beaucoup d’ados sont à la recherche d’un cadre ou d’une cause juste, d’une identité», explique sa directrice. Pour elle, «c’est à la jeunesse de recréer ses propres codes, et il faut que nous proposions un discours alternatif qui n’émane pas de l’État pour pouvoir atteindre ces jeunes».
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