Zohra Harrach N’Diaye évoque alors la possibilité que ces jeunes femmes soient dans la répétition d’un trauma vécu précédemment. Des blessures enfouies que personne n’a su prendre en charge.
«Dans les quartiers, certaines jeunes femmes ont comme on dit “tourné”, elles ont cette réputation. Alors lorsque certains viennent leur promettre l’expiation, la pureté, la purification, elles veulent y croire.»