«Et même quand le père est présent, à un moment de sa vie, le fils entre en confrontation avec lui. Il s’agit d’une bataille symbolique, au centre de laquelle il y a l’amour de la mère», poursuit le sociologue. Une confrontation œdipienne particulièrement violente. «Vers 16-17 ans, un sentiment de haine m’a envahi, se souvient-t-il. J’étais en confrontation avec mon père en perte d’autorité, je me sentais dévirilisé, et puis je n’allais quasiment plus au lycée.»
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