Pierre Henry : « Il faut mener le combat de l’ouverture à l’autre »

P. H.Je ne me sens pas en retraite. Je n’aurai pas de période d’inactivité. Je vais avoir des activités d’enseignement. Je suis déjà président de l’association France fraternités qui promeut l’éducation populaire et la solidarité. Par ailleurs, je suis ouvert à d’autres projets. Par exemple, j’aimerais créer un « quart lieu » qui mêle diverses activités comme la restauration, les liens intergénérationnels ou les pratiques sportives. Cela se fait par exemple chez Habitat et humanisme. Dans une société qui a tendance à se morceler, on a besoin de lieux ouverts.