Pierre Henry : « Il faut mener le combat de l’ouverture à l’autre »

Vous avez l’air de considérer que les divers collectifs militants ne sont d’aucune utilité…

P. H.Dans une société démocratique, chacun a sa place et les collectifs mènent des combats utiles pour des avancées dans le droit. L’idée développée par certains que nous serions entre la main des pouvoirs publics est grave. Je n’oublie pas que c’est l’objectif de certains politiques. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Éric Besson avait expliqué que nous devions obéir dans la mesure où nous touchions des aides de l’État.