Pierre Henry : « Il faut mener le combat de l’ouverture à l’autre »

Je ne peux m’empêcher de me demander quels sont vos ressorts personnels ?

P. H.(Hésitation) C’est très intime. Je préfère ne pas en parler.

Et votre pire souvenir ?

P. H.Il n’y a pas de pire souvenir. Après, vous savez, la vie d’une organisation est forcément compliquée. Si, il y a les accusations dont j’ai été victime en 2013. Cela reste une blessure intime.

Et maintenant, qu’allez-vous faire de votre retraite ?