Selon toute logique, Ahmed M. devrait intégrer un de ces quartiers étanches, après être passé par un QER d’ici à la fin de sa peine, prévue dans deux ans. Il pourrait aussi, en théorie, bénéficier d’une liberté conditionnelle. Mais ce genre d’aménagement est rare pour les détenus « AMT ». Une chose est sûre, il restera particulièrement suivi une fois sorti de prison, comme la juge le lui a rappelé lors de la décision rendue en appel. Un arsenal de mesures judiciaires ou administratives est prévu pour continuer à surveiller les sortants : convocations, port d’un bracelet électronique géolocalisé, injonction de soins, participation au programme Rive, écoutes, filatures…
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27.06.2017