L’association reçoit des personnes mises en examen, détenues, en liberté ou sous contrôle judiciaire, qu’elles soient revenues de zone ou signalées mais jamais parties. Sortir de la violence prend du temps. Selon Zohra Harrach N’Diaye, «il est important aussi, pour ne pas se leurrer, que toute personne intervenant dans ces situations-là prenne conscience que la rechute fait partie de la prise en charge».
1+