De l’individuel au collectif
Il n’y a pas en soi de bonne ou de mauvaise manière de donner en temps de crise. Comme l’écrivent Peter Frumkin, Anne-Claire Pache et Arthur Gautier, établir une stratégie philanthropique consiste à trouver l’équilibre entre dispositions personnelles et intérêt général.
Il s’agit donc de choisir un mode d’action adapté à ses moyens financiers, au temps disponible, à ses compétences et à ses propres motivations. Bien qu’en décalage avec la discrétion culturelle des Français sur le sujet, rendre son don public peut aussi s’avérer pertinent pour mobiliser ses proches autour d’initiatives solidaires, dans un secteur où la visibilité peut faire la différence.