Pendant des décennies, nos reportages étaient racistes. Pour nous en détacher, il nous faut le reconnaître.

Pour nous, cette couverture médiatique est aussi l’opportunité d’un examen de notre propre histoire, et de nos efforts pour illuminer le cours de l’humanité, au coeur de notre mission depuis 130 ans. Je souhaite que les prochains rédacteurs en chef de National Geographic puissent être fiers de l’histoire de ce magazine – pas seulement pour les reportages que nous aurons décidé de publier mais aussi pour la diversité de journalistes, rédacteurs et photographes qui les portent.