Le projet de musée de l’histoire de la France et de l’Algérie est relancé

Reste le nerf de la guerre, le financement, sachant que la métropole, qui évalue à 11,5 millions d’euros ses pertes sur deux ans suite à la pandémie de Covid-19, n’est pas en capacité d’investir dans la construction d’un nouveau bâtiment. Pour Michael Delafosse, l’argent ne doit toutefois pas constituer un frein au projet, car, insiste-t-il, « on ne peut pas continuer à mettre ces mémoires sous le tapis ».