Le projet de musée de l’histoire de la France et de l’Algérie est relancé

La constitution à venir d’un nouveau conseil scientifique devrait permettre d’affiner la proposition. « On aimerait commencer le parcours avant 1830, dès le XVIe siècle, et poursuivre jusqu’à aujourd’hui », précise Florence Hudowicz. Pour la conservatrice, une collecte de témoignages sonores est nécessaire pour concilier des mémoires disjointes et conflictuelles. « Il faut penser ce lieu comme un pont entre l’université et la cité », insiste-t-elle.