Fondateur et directeur de l’association Mémoire et Partages à Bordeaux, Karfa Diallo salue l’installation de ces plaques mais se dit très en colère de cette «pose en catimini». «C’est un acte très fort et symbolique à Bordeaux. Il était nécessaire à mon sens qu’il y ait une vraie communication pour embrasser l’histoire ensemble. Nous n’avons même pas été mis au courant de son installation mercredi», a-t-il réagi, pointant une «méthode clandestine indécente».
Esclavage, mémoire et plaques de rue : à Bordeaux, un «tabou tombe» en catimini
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Plaques de rue : à Bordeaux, un «tabou tombe» en catimini