Esclavage, mémoire et plaques de rue : à Bordeaux, un «tabou tombe» en catimini

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Dévoilées en décembre à l’hôtel de ville, les plaques sont l’aboutissement d’un long et minutieux travail de recherche entrepris dès 2009. Date à laquelle le musée d’Aquitaine, à Bordeaux, a dédié une partie de ses salles à l’esclavage et à la traite négrière. Selon la mairie, elles devaient être posées et inaugurées avant le confinement, mais la crise sanitaire a repoussé l’échéance.