Comment le monde sportif lutte contre la radicalisation en Ile-de-France

Là encore, pour obtenir la fermeture de ce stand de tir, la préfecture avait dû pointer du doigt un manque de sécurité. L’ex-gérant du lieu, se défend, lui de toutes ces accusations : « Je n’ai jamais encadré les séances de tir d’un terroriste car à cette époque, monsieur Amimour n’avait commis encore aucun acte terroriste et ne portait aucun signe religieux ostentatoire. »

La région veut former des lanceurs d’alerte
A la région Ile-de-France, dans les prochains jours, des formations seront lancées autour de la laïcité et de la prévention de la radicalisation. Ces journées sont destinées aux sportifs mais aussi aux employés communaux. «Il faut qu’il puisse y avoir des lanceurs d’alerte partout, car, qui à part les femmes de ménage ou les gardiens de gymnase, peuvent se rendre compte d’un problème dans un club qui vit replié sur lui-même ? » détaille Patrick Karam, vice-président (LR) de la région Ile-de-France, en charge des Sports.