Photo d’archives du 4 septembre 2017. De la fumée s’élève depuis un supposé village rohingya en Birmanie, sous les yeux de réfugiés de cette communauté rassemblés dans le no-man’s land à la frontière avec le Bangladesh. (AFP / K.m. Asad)
Je n’ai jamais couvert de guerre, mais j’ai eu l’impression d’en vivre une avec ces vagues de civils en état de choc, titubant devant nous au Bangladesh, certains sur des civières, à moitié morts avec des plaies béantes, avec des récits de violences presque incroyables.