Nos vie confinées : la solidarité en plein essor

« En attendant que tout le monde se connecte, qui veut partager une recette de cuisine ? », tente Lauren. Passé les pommes au four, Virginie, l’une des participantes, active son micro : « Pour moi, être dans l’action, c’est un moteur pour supporter le confinement. Mais je ne me voyais pas me lancer seule. » La majorité du bataillon a entre 20 et 40 ans, beaucoup n’ont jamais été bénévoles. Makesense s’adresse particulièrement à eux, et se présente comme une rampe de lancement vers l’engagement, version start-up. « Si vous êtes ici, c’est que vous voulez aider. Même si vous n’aidez qu’une seule personne, vous pouvez avoir un impact », débite Lauren.