Jean-Michel et Fabien Clain
Avant d’atteindre la ville de Raqqa, il faut franchir de multiples check points, qui sont autant d’occasions de constater le degré de tension qui habite encore les militaires. Car si l’ancienne capitale de l’EI a été reprise par les forces syro-kurdes en octobre 2017, l’insécurité y règne encore. Des attentats viennent régulièrement rappeler que les cellules dormantes de l’EI n’ont pas toutes été démantelées dans la région. Raqqa, elle, est détruite à plus de 70 %.