Genève : Jorge Cantalapiedra, ses nuits confinées avec les sans-abri

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«Sinon, poursuit Jorge, on enseigne des petits gestes utiles, comme nettoyer le briquet ou le smartphone d’un tiers avant de s’en saisir. On réfléchit aussi à des activités safe, type jeux de raquettes, qui occupent la trentaine de sans-abri restant sur place, la journée.» La caserne est confortable, le personnel détendu, attentif. «Ce qui me frappe, ajoute Jorge, c’est à quel point tout le monde est écouté, y compris nous, les suppléants. Le partage est vraiment démocratique.»