Focus sur les « repats », ces enfants d’immigrés qui partent vivre sur les terres de leurs parents

«On pense souvent à tort que ceux qui partent ne sont pas bien ancrés, mais c’est plutôt le contraire»

« En région parisienne, il y a un vivier de compétences qui peuvent apparaître banales en France mais qui sont recherchées en Afrique, précise-il. On pense souvent à tort que ceux qui partent ne sont pas bien ancrés mais c’est plutôt le contraire : ils ont une bonne place et peuvent en gagner une très bonne. » La preuve, les repats interrogés pour AfricaFrance « connaissent une évolution salariale de 45 % en moyenne une fois qu’ils ont trouvé un emploi ».