La lecture publique qu’a faite l’Elysée de cette position ouverte a grandement contribué à miner la réception du rapport en Algérie. « La reconnaissance des faits, oui. Des excuses, non », avait assuré le 20 janvier – jour de la remise du rapport – une source élyséenne aux médias français qui ont aussitôt mis en exergue ce « refus de la repentance » de la présidence de la République, créant de facto une confusion entre une posture officielle et un rapport académique.
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