France-Algérie : la réconciliation mémorielle à la peine

La question des « excuses »
En France, le rapport a suscité peu de réactions à droite – hormis un tweet du maire de Perpignan Louis Aliot (Rassemblement national) qualifiant le texte de « honteux » –, tandis que La République en marche (LRM) était aux abonnés absents. A gauche, les Verts, le Parti communiste (PCF), La France insoumise (LFI) et des élus socialistes ont exprimé leur soutien aux propositions de M. Stora. Du côté des « groupes de mémoire » directement intéressés, seuls les harkis ont manifesté leur déception, les autres (pieds-noirs, anciens appelés, enfants issus de l’immigration algérienne) s’étant peu exprimés.