Le silence de M. Macron pèse d’autant plus sur le climat de scepticisme qui a entouré la réception du rapport que, de l’autre côté de la Méditerranée, les réactions algériennes ont été globalement négatives. Alors que le ton semblait s’être adouci dans la presse au lendemain du retour, le 12 février, du président Abdelmadjid Tebboune à Alger après son hospitalisation en Allemagne, la crispation était de nouveau de mise mercredi 17 février avec la fin de non-recevoir officielle opposée au rapport Stora par le porte-parole du gouvernement, Amar Belhimer. Ce dernier a estimé que le rapport était « non objectif » et « en deçà des attentes » [d’Alger] car plaçant « sur un pied d’égalité la victime et le bourreau ».
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