La fiancée juive de Damas
Que s’était-il passé depuis ce terrible avril 1948 où les Elkayam avaient à jamais perdu la trace de leur fille ?
«Je vais vous raconter, habibti, ma chérie…»
Pour Rachel, toutes les femmes qui s’assoient près d’elle pour écouter son histoire, capter le secret d’une vie aimantée par la passion, sont des chéries, des habibti, comme on dit à Damas, et en Israël aussi, dans les rues, les chansons et les serments, même quand on est juif.