Un Syrien libéré après un séjour dans les prisons du régime montre des marques de tortures sur son dos, en août 2012 à Alep (AFP / James Lawler Duggan)
J’ai été torturé dans les deux geôles. Le plus dur, c’était du côté du régime, car ils voulaient m’arracher des « aveux ». Chez Daech, l’accusation était toute trouvée : j’avais une caméra donc j’étais un « infidèle » pour eux, ils n’avaient pas besoin de m’interroger.