Des parties communes qui inquiètent
Mais la peur domine parmi les habitants rencontrés ce mercredi. Tous dénoncent la « saleté » de parties communes dont ils peuvent difficilement se passer, et l’« abandon » du bailleur, Adoma, qui n’assurerait pas le strict minimum sanitaire. Surtout depuis l’épidémie, quand les « contacts » et « zones où tout le monde touche » font craindre le pire aux locataires.
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