Coronavirus à Boissy-Saint-Léger : le quotidien «invivable» au foyer de travailleurs étrangers

Devant l’ascenseur, un vieux philosophe : « Quand je vois à la télé le reste du monde, je me dis qu’on a presque de la chance. Et puis… Le coronavirus n’est pas la première galère du foyer. Et ce ne sera pas la dernière. »