Areski, Roger, Georges, Mohamed et les autres : la mémoire de l’usine Renault

Ariski : Ce n’est que du virtuel ! Moi je préfère le texte, la poésie, d’ailleurs c’est comme ça que j’ai fait (rires).

À votre époque, quel était le vêtement qu’il fallait absolument porter ?

Ifour : À l’époque, dans les années 40, il n’y avait pas de style. On s’habillait avant tout pour se couvrir.

Aujourd’hui, le rap sert aux jeunes à revendiquer des choses à travers des textes. À votre époque, la musique était-elle déjà un moyen d’expression ? 

Roger : Oui, quand on a vu arriver le hip-hop et cette nouvelle façon de danser, ça a joué un rôle dans la société.