Areski, Roger, Georges, Mohamed et les autres : la mémoire de l’usine Renault

 

Avez-vous eu le soutien de partis politiques ?

Roger : Ça dépend (rires). Oui, le parti communiste de l’époque nous soutenait.

Pensez-vous que vos soucis de l’epoque reflètent finalement la société d’aujourd’hui ?

Devoir de mémoire

Georges : À l’époque, on sortait de la Seconde Guerre mondiale, le contexte était tout à fait différent. Avec la libération de la France, en France, il y avait une grande solidarité entre les gens. Par contre, je trouve que la génération de mes enfants vit davantage dans l’individualisme.

Beaucoup d’émigrés ont quitté leur famille pour venir travailler en France. Si c’était à refaire, le referiez-vous ?

Ifour : Bien sûr, car je suis venu pour travailler.