La militante féministe franco-britannique Emily Bove, également membre du jury, explique le choix des jurés, parmi une centaine de noms sélectionnés par les ambassades françaises pour honorer la mémoire et l’action de l’ancienne ministre Simone Veil, rescapée d’Auschwitz, qui avait défendu la loi de dépénalisation de l’avortement en 1974 :
« Nous voulions que le lauréat ou la lauréate, à l’instar de Simone Veil, ait démontré une force personnelle dans son parcours, mais aussi dépassé sa propre histoire pour se mettre au service d’une cause plus grande que soi. »