Je n’ai jamais trouvé de réconfort, ou de ligne de conduite, ou encore d’utopies idéalistes satisfaisantes à suivre, dans le modèle sociétal de mon environnement proche et du pays qui était le miens. Le consumérisme, ou la réalisation par « l’aliénation volontaire » au capital, ne sont pas des « utopies » qui me suffisaient en terme de « sens donné à la vie » et de quête d’un idéal plus grand que soi. Le rêve de la réalisation de soi par le matérialisme, au sens commun comme au sens philosophique du terme, ne m’a jamais convaincu.
Pourquoi je suis sorti de « l’islam des quartiers »
