Depuis j’ai décidé, par fidélité à mon ambition de départ – à savoir ne pas suivre les hommes mais plutôt à chercher moi-même un comportement éthique grâce aux grands hommes à qui j’aurais moi-même donné une légitimité, de ne plus faire partie d’aucun « camps » qui diviserait les Hommes.
Dans ma quête je n’ai plus de « limites », plus de barreaux, plus d’interdits à-priori sans retours d’expérience, plus de compte à rendre, plus de pression, plus de règles illogiques qui alimentent les frustrations. Je me réclame de toutes les sagesses d’où qu’elles viennent tant qu’elles parlent à mon âme. Je peux prendre des sagesses du Coran comme de la Bible, de Maimonide comme de Nieztche, de l’Avesta comme du Mahabharata, de la Torah comme de Spinoza, de Ibn Sina comme de Voltaire etc..