Il en résulte qu’en ces temps-là l’homosexualité n’était pas scandaleuse comme elle l’est aujourd’hui dans les pays musulmans. La passion du sultan Selim Ier (1466-1520), surnommé « le Terrible », composant des odes dans lesquelles « il avoue son amour pour les jolis garçons [3] » le prouve. Les religieux ne furent pas en reste, à l’exemple de l’historien aleppin Ahmad ibn al Mullâ reconnaissant son inclination pour les éphèbes :
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