Pour cela, il faut y être, sur le terrain, et accepter d’y passer du temps. Prendre le risque de l’empathie, s’autoriser à nouer des liens d’amitié, ne pas avoir peur de s’engager.
Aussi, avant de repasser une dernière fois le périph’ et laisser derrière l’enseigne « Rosny 2 », l’A86 intérieure et les bus à trois chiffres, je voudrais saluer Fouad Ben Ahmed, Mohammed Mechmache, Nadia Dahli, Brahim Chikhi, Rodrigo Arenas, Amine Betache, Amal Bentounsi, Mohammed Maatoug et Malik Sylla.
Et tous ceux, comme le père de Lamine, qui sont « nés du mauvais côté de la France », et auxquels je dois tant.