Malnutrition, torture, travail forcé… En Libye, les migrants affrontent l’enfer

Pourtant, le plan d’action présenté début juillet par la Commission européenne a souligné la volonté des institutions européennes de retenir les migrants en Libye. Ce qui n’a pas manqué de faire réagir les ONG, alertant sur les conséquences d’une telle politique. Jean-Guy Vataux s’insurge :

« L’Union européenne parle de la Libye comme d’un havre de paix, où les migrants pourraient rester en attendant la suite… Alors même qu’aucun expatrié de l’UE n’y a été envoyé depuis deux ans ! Il y a vraiment deux poids deux mesures. »