Toujours est-il que depuis les années 90, des demandes “liées au genre, comme celles qui sont fondées sur les risques d’excision des petites filles, à la traite des êtres humains ou à l’orientation sexuelle” sont apparues, rappelle l’Ofpra. Et nul doute que les choses ne s’arrêteront pas là, avec un futur où l’accueil de réfugiés climatiques est de plus en plus certain.