A l’époque, “sont réfugiés tous ceux qui ont été reconnus comme tels au titre des conventions antérieures, et tous ceux qui craignent avec raison des persécutions du fait de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un certain groupe social ou de leurs opinions politiques”, rappelle l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). C’est ce qui ouvre la voie à l’accueil des populations sud-américaines et asiatiques évoquées plus haut.
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