Ce même « handicap » a également surgi dans la vie d’Aline (qui témoigne sous un prénom d’emprunt). L’ordinateur, cette mère célibataire de deux enfants avait appris à s’en passer : « pas les moyens » avec les fins de mois « dans le rouge ». D’autant qu’au Grand-Bellevue, à Trélazé, tous les habitants savent pouvoir compter sur un « plan B » : les PC que la régie de quartier et d’autres associations mettent à leur disposition. C’était compter sans la fermeture de ces accueils de proximité.