Ce sont donc ces pigistes courageux qui, depuis des années, permettent de maintenir une fenêtre ouverte sur cette guerre interminable.
Certes, beaucoup d’images provenant de Syrie circulent sur les réseaux sociaux et certaines sont reprises par des médias. Mais contrairement à celles que diffuse l’AFP, elles ne sont ni vérifiées, ni authentifiées. Or, l’authentification est le principal défi que pose aux médias la couverture du conflit syrien. C’est même le premier conflit qui pose ce problème sur une telle échelle. Notre réseau de pigistes nous permet d’offrir à nos clients notre propre production, estampillée AFP.
Depuis le début de l’assaut sur la Ghouta orientale, le 18 février, nous avons ainsi diffusé près de 70 vidéos tournées par nos correspondants dans cette zone.