Dans ce contexte, le sort des jihadistes français n’est pas anodin. En l’état, l’avenir des prisonniers n’est pas clair. Aux mains de groupes extra-étatique comme YPG, qu’adviendra-t-il d’eux à l’avenir ? Leur sécurité n’est pas assurée, leur capacité d’évasion bien plus grande qu’en France, et le risque d’une transaction en échange de prisonniers kurdes avec le régime de Bachar el-Assad toujours présent. Dans un proche avenir, ils pourraient aussi constituer un moyen de pression politique sur les autorités de notre pays.
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