Parce que l’exode des jihadistes français ne devient conséquent qu’à partir de 2013, les enfants nés là-bas sont aujourd’hui âgés de moins de 5 ans. La question de leur rapatriement ne peut donc se discuter. Il est d’ailleurs (très) partiellement en cours. En particulier en Seine-Saint-Denis, où 44 enfants revenus de Syrie et d’Irak, dont 33 nés en France, ont été pris en charge depuis dix-huit mois par les services sociaux.
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