Aussi, pour favoriser l’accès rapide à l’information et mesurer le degré d’intérêt que les Africains portent à leur patrimoine et la mise en valeur de ce dernier, l’utilisation d’un réseau social comme Facebook constitue un moyen efficace dans la mesure où il s’agit du réseau social le plus utilisé en Afrique, selon un article publié par TicMag en 2015.
Dans cette perspective, une enquête a été réalisée dans le cadre de ma recherche doctorale intitulée « sites du patrimoine mondial africain en péril et tourisme : une approche multisituée ».