Voici une sélection des exemples les plus frappants.
Le point de départ de l’étude : une vidéo russe reprise en France, en Turquie et en Espagne
Les intox sont reprises et adaptées d’un pays à l’autre et alimentent la rhétorique xénophobe de plusieurs groupes politisés. L’exemple marquant le plus récent, qui a servi de point de départ à cette étude, montre bien les ressorts de ce mécanisme.
Vidéo publiée sur YouTube, le 23 février 2017. Lien d’archivage ici.
Cette vidéo, publiée le 23 février 2017, montre un homme en train de frapper plusieurs infirmières dans un hôpital en Russie, dans la ville de Novgorod. Mais elle a été détournée dans au moins trois pays.