Black, Rebeu, Babtou : pourquoi la France peine à nommer ses couleurs ?

Pour parler de blancs, il faudrait commencer par donner ou redonner des noms à tous les autres. A l’endroit. Peu importe les noms, tant qu’ils sont dotés de sens et pas de peur.

Des noms, non pas pour encourager les essentialisations, les simplifications, juste des noms pour ce qu’ils sont, et pour commencer à être moins étrangers les uns aux autres.

Par Kenza Aloui. Publié le 12/04/2017 sur i-D.